Spécialiste de la mesure réglementaire
Notre approche se déroule en quatre phases, chaque phase apportant une information complémentaire des autres ; seules les parties chauffées sont prises en compte.
1.Thermographie extérieure du bâtiment
A l’aide d’une caméra thermique infrarouge, de chacune des façades accessibles, chaque photo étant associée à une image numérique.
Cette prestation peut être complétée par une thermographie aérienne basse altitude à l’aide d’un ballon captif.
2 Thermographie intérieure du bâtiment
Prise de photo(s) infrarouge dans chacune des pièces chauffée des bâtiments, chaque photo étant associée à une image numérique.
Ces deux opérations de thermographie intérieure et extérieure permettent essentiellement de déceler les problèmes de défaut d’isolation, ainsi que les ponts thermiques (conduction) et les zones à risque important de condensation (point de rosée atteint)
3 Test de perméabilité à l’air (infiltrométrie)
Cette opération consiste à mesurer l’ensemble des fuites d’air du bâtiment et de calculer le coefficient de perméabilité à l’air Q4Pa-surf.
L’ensemble des grilles de ventilation et VMC ayant été au préalable obturé/calfeutré, le bâtiment est mis en légère dépression selon un protocole clairement défini par la norme NF 13829, créant un vent d’environ 33 km/h (50 Pa minimum) sur l’ensemble des parois extérieures.
A Photo numérique « réelle »
B Thermogramme infrarouge du même point sans mise en dépression : repérage des problèmes d’isolation et des ponts thermiques
C Thermogramme infrarouge avec mise en dépression : repérage des infiltrations d’air non maîrisées.
L’ensemble de ces opérations permettra de déceler de manière pragmatique, non intrusive et non destructive la plupart des défauts thermiques de l’enveloppe d’un bâtiment.
A la suite de cette étude, les travaux d’amélioration conseillés n’en sont que plus ciblés et pertinents, permettant une hiérarchie de ces derniers et donc une économie réelle.
Spécialiste de la mesure réglementaire
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